Sémaphore sorabe
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Sémaphore sorabe
A l'attention de Apollina Paragon, citoyenne pryanne.
Son Altesse Princière Frédéric Ier de Lusance
Prince-Amiral de Sorabe et seigneur de LusanceMademoiselle Apollinna Paragon
Recteure de l'Université de Prya
Fondatrice de la SAPPHO et du PCP
Mademoiselle,
J'ai autorité sur toute la Sorabe, je commande aux hommes libres les plus terribles de la Mer Océane. Je ne crains point de me battre épée à la main et de risquer ma vie à l'abordage, je l'ai déjà fait cent fois. Pourtant, ma main tremble lorsqu'elle écrit à votre délicieuse personne.
Il y a un peu, l'un de vos concitoyens écrivait que vous étiez la plus belle femme de Prya. Foutaises, foutaises ! Vous êtes la plus belle femme du micromonde. Je ne voyais autrefois que dans les femmes d'étranges personnes uniquement vouées au plaisir charnel et à la maternité puisque dépourvu d'intelligence et de sens commun, mais vous êtes visiblement l'exception, ô combien charmante.
J'ai les sens troublés par le courage et l'ingéniosité que vous avez déployées lors de votre combat "féministe". Ces qualités, rares chez le sexe faible, sont profondément admirables et me conduisent à une profonde dévotion envers votre personne. Les hommes de Prya ne sont pas dignes de vous. Ils sont sans vertu. Disons-le franchement, vous devriez restés chez vous, à vous occuper d'un ménage. Et pourquoi pas du mien ?
Mademoiselle, je demande votre main. Je vous demande de devenir Princesse de Sorabe. Nous avons tout pour nous entendre. je suis aussi un "féministe." J'ai aboli le droit de cuissage, et je pense interdire le rapt de femmes. Venez, venez à moi, et je serais votre serviteur et amant dévoué. Vous avez une croupe et des hanches magnifiques. Assurément, notre progéniture sera nombreuse. Venez, et je vous offrirais en plus d'un titre, dix palais, tous plus beaux et plus grands les uns que les autres.
De grâce, ne faites point trop attendre un cœur sensible qui vous adore déjà.
P.S : Si un quelconque gêneur, parent ou ami voulez empêcher notre union, sachez-que je peux voguer vers vous et brûler ces coquins !Frédéric.
Frédéric Ier de Lusance- Messages : 65
Date d'inscription : 01/10/2012
Re: Sémaphore sorabe
COMMUNIQUÉ DE SON ALTESSE PRINCIÈRE FRÉDÉRIC IER SEIGNEUR DE LUSANCE, PRINCE DE SORABE, ET GRAND-AMIRAL DE TOUS LES OCÉANS DU MICROMONDE
Moi, Frédéric Ier, je revendique par la présente, avoir coulé et brulé le gros navire zozo qui paradait comme un éléphant obèse en mes eaux territoriales. Il faudra, bande de coquins zollernois bien reconnaitre mon autorité et ma toute puissance. Bien que vos marins soient aussi inoffensifs que des fientes de mouettes, je dois reconnaitre que ces mesdemoiselles et mesdames zollernoises sont joliment attifés et joliment faites !
Je demande à mon cousin et vassal, Louis Ier, de enfin reconnaitre mon autorité et ma suzeraineté sur ces États. La paix des océans et la tranquillité de ses barcasses est à ce prix. En cas de refus, je me contenterais tout aussi bien de la main de Madame la très séduisante Grande-Duchesse Marialyn.
Enfin, je demande aux autres États du Micromonde de soutenir les actions sorabes contre le Zollernberg. Cet État-voyou et arrogant doit être combattu et doit se contenter uniquement de ses possessions continentales. Ennemis du Zollernberg, soutenez-moi dans ma belle et grande œuvre vengeresse !
Salut !
Frédéric Ier.
Frédéric Ier de Lusance- Messages : 65
Date d'inscription : 01/10/2012
Re: Sémaphore sorabe
COMMUNIQUÉ DE SON ALTESSE PRINCIÈRE FRÉDÉRIC IER SEIGNEUR DE LUSANCE, PRINCE DE SORABE, ET GRAND-AMIRAL DE TOUS LES OCÉANS DU MICROMONDE
Moi, Frédéric Ier, Prince de Sorabe, déclare rejeter l'ultimatum du Grand-Duché de Zollernberg. Certaines des conditions sont totalement incompatibles avec la souveraineté et l'intérêt de la Principauté de Sorabe. D'une manière générale, les Sorabes ne cèdent jamais devant la menace et n'accepte aucun diktat de l'étranger.
Pour autant, les hommes libres de Sorabe, se déclarent, par ma voix, prêt à négocier avec le gouvernement zollernois pour obtenir une solution pacifique à ce différent. Pour démontrer ma bonne volonté, Moi, Frédéric Ier, je déclare accepter comme prélude à des pourparlers de paix les clauses une, deux et cinq de l'ultimatum zollernois.
Une médiation par une nation tierce serait d'ailleurs extrêmement profitable à nos deux très grandes nations.
Frédéric Ier.
Frédéric Ier de Lusance- Messages : 65
Date d'inscription : 01/10/2012
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