Bataille de Port-Princier

Le Capitaine Pearl et le Second Jorgensen avaient le regard fixé sur le port à travers leurs paires de jumelles respectives. Le «  Souverain volant  » était positionné à 4 ou 5 encablures de l'entrée du port d'où s'échappait fumées et chants.

En effet, la Sorabe était livrée à l'anarchie la plus sauvage depuis que le Prince-Amiral avait quitté les lieux...

Personne ne savait vraiment où il se trouvait. D'aucun parlait d'un palais oriental où il se complaiserait dans la luxure et la gourmandise. D'autres le disait mort et refroidit...

Et tout état de cause, le chaos régnait au sein de l'île des pirates.

William Z. Pearl revenait d'une longue excursion dans les colonies d'une grande nation du micromonde et avait fait le plein de vivres, de carburant, d'or et de prostitué. Il découvrait à Port-Princier, le port de la capitale Lusance, que la situation s'était passablement dégradé depuis son départ.

Il avait réunit le conseil des officiers du porte-avions pirate et un plan d'action avait était défini...

Le port était gardé par les plus saoulards des pirates renégats de Sorabe... le pire de la piraterie. Pearl savait qu'il trouverai les derniers fidèle de la Principauté, plus à l'intérieur des terres.

Le radier du navire laissa s'échapper le «  Cachalot  », le submersible de Pearl. A son bord une vingtaine de commandos flibustiers.

Le Cachalot, en plongée, gagna le quai. Les flibustiers sortirent par les lances-torpilles et escaladèrent le quai.

Les pirates rebelles sensés garder le part étaient rond comme des Ducats d'Or, ils chantaient à tu-tête et ne virent pas les commandos s'approchait d'eux... Ils se firent massacrer.

Le chef des commandos envoya un signal lumineux en direction du «  Souverain  », qui ralluma ses machines et entra à son tour dans le port.

Le reste des commandos débarqua une fois le porte-avion à quai. Les coups de feu retentirent dans Port-Princier, puis dans le bourg de Lusance. Certains pirates se rendaient sans combattre, d'autres mourraient en subissant la supériorité des commandos-flibustiers du « Souverain », sobres et entraînés.

Finalement, la troupes arriva au Palais-Mitau.... Pearl les avait suivit et avait demandé à entrer en premier...