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Centre Universitaire Sorabe

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Message  William Z. Pearl Mar 12 Mar - 23:13

Centre Universitaire Sorabe



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Le Centre Universitaire Sorabe est un établissement public d'enseignement supérieur et de recherche situé principalement à Lusance, dans les bâtiments d'une ancienne école militaire datant de l'époque bélondaure.

Il fonctionne en grande partie en partenariat avec des universités étrangères qui y détache des enseignants-chercheurs.

Recteur : Docteur Kasper Abenkraft
William Z. Pearl
William Z. Pearl

Messages : 244
Date d'inscription : 06/02/2013

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Centre Universitaire Sorabe Empty [Religion] Culte de la Grande Déesse

Message  Sella Ven 2 Aoû - 15:04

Osismii a écrit:Osimii est Professeur de Théologie à l'Université d'Ebur.

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Sa famille très pieuse est originaire de Kortor à l'Est de la Ligue Eburnéenne Décanale. Il a été Ministre de l’Éducation est de la Culture, plusieurs fois Député du Rassemblement Conservateur et récemment nommé à la Curie Eburnéenne où il a été élu Pair de la Ligue. Il est connu pour ses positions politiques très conservatrices et son hostilité en LED à toutes autres religions que celle de la Grande Déesse dont il a été assistant des Prêtresses étant jeune.

Il présente au Centre Universitaire de Sorabe une courte synthèse de ses travaux sur le Culte de la Grande Déesse.




Son cours :


Origines du Culte de la Grande Déesse


Aux origines de l’histoire de la Ligue Eburnéenne Décanale le sacré est déjà féminin. Les chasseurs de Proboscidiens ont associé les rythmes de la nature, l’abondance de ses dons nourriciers, la magie de la naissance et de la vie, avec la femme et son pouvoir de procréation auquel ils se sentaient étrangers.

La perception intuitive de ces hommes immergés dans la nature et soumis à ses cycles leur avait fait prendre conscience des énergies qui lient le vivant et animent le monde naturel. La Terre elle-même leur apparaissait comme un être vivant qui les abritait, les nourrissait et déterminait leur vie et leur mort. Elle était parcourue d’ondes de vie, parfois terribles, elle avait tout pouvoir sur eux, un pouvoir qui dépassait leur compréhension.
L’ivresse de vivre des premiers hommes dans leur fusion perpétuelle avec les rythmes de la nature leur rappelait sans doute l’extase vécue dans l’accouplement avec leurs compagnes. Et de plus, elles donnaient la vie, tout comme la Terre elle-même. Ils n’avaient alors aucune conscience de leur rôle procréateur, ils accordaient alors toute la magie de la naissance aux seules femmes. C’est sans aucun doute ainsi que la fascination et le mystère de la vie prirent dans la conscience des anciens une forme féminine. Le sens du sacré fut paré des formes et des attributs de la femme, car Nature et Femme appartenaient au même monde magique des ondes et des forces de Vie, un monde qui échappait à la compréhension de l’Homme mâle.
Le mystère de la création était donc limpide et donna un ancêtre unique à l’ensemble du monde, une femme, une déesse. L’apparition de la Grande Déesse dans la conscience des hommes est l’élément fondateur de notre religion, avec ses rituels chamaniques.

Rien de plus naturel alors que de vouer un culte à une déesse nourricière qu'ils ont très rapidement représenté en sculptant déjà l'ivoire. Nos archéologues ont découvert plusieurs de ces statuettes primitives :

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Aujourd'hui encore ce culte se perpétue et crée un équilibre avec le pouvoir politique détenue par les Doyens, traditionnellement des hommes jusqu'au scandale de la dernière élection. Mais ce n'est pas le sujet.
La Grande Déesse est parfois nommée Déesse Mère, Mère, Déesse ou simplement Elle. Il est courant en Ligue Eburnéenne Décanale de finir ses phrases par des expressions comme "Que la Déesse vous garde" ou des variantes, il s'agit de simples formules de politesse comme 'Bonne route", "Bon courage" etc...


Le "clergé" de la Grande Déesse

Quelques précisions sur le "clergé" de la Grande Déesse pour clarifier les choses, la majorité des servants de la Grande Déesse sont des femmes. On parle donc couramment de "Prêtresses" pour les qualifier. Mais il existe des Prêtres de la Déesse, ils sont certes très rares, la religion de la Déesse Mère n'est donc pas totalement misandrique, mais à vrais dire je ne connais que deux prêtres dans toute la Ligue et ils sont, comment dire, assez originaux. Il est plus exact de parler de servants de la Déesse pour les Prêtresses et les Prêtres et d'assistants des servants pour les jeunes hommes comme moi qui ont un temps participé aux cérémonies.  Ces jeunes hommes représentent alors les Doyens dans leur forme la plus simple, la plus proche de la Déesse et sont d'une certaine manière rabaisser symboliquement pour leur rappeler leur Mère nourricière à qui ils doivent tout. Pour autant en Ligue Éburnéenne Décanale il est courant de parler vulgairement de Prêtresses et d'assistants sans être très précis, moi-même il m'arrive de faire ces raccourcis.
Il n'existe pas vraiment de hiérarchie entre les "Prêtresses" de la Grande Déesse, toutes ont donné leur vie au service de la Mère est sont très respectées, elles peuvent être responsable d'un des nombreux Temple ou non. Cependant la Prêtresse du Grand Temple de Cybélis est couramment appelée Grande Prêtresse et bénéficie d'un prestige particulier. Quelques symboles peuvent cependant distinguer les Prêtresses qui sont reconnues pour leur influence, ils sont volontairement subtils quoique certains sont ostentatoires comme le port d'une peau de tigre sur l'épaule par exemple.
Les simples fidèles du Culte de la Grande Déesse s’appellent simplement "Relijiel" (littéralement "fidèle" en lédon)


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Prêtresse de haut rang


De la cérémonie de présentation à la Déesse Mère

Nos anciens étaient en un sens bien plus pieux que les plus fervents croyants de notre époque. Ils voyaient en tout la main de la Déesse et en particulier le miracle de la naissance d'un enfant. Pour eux l'homme n'y était pour rien, tout était le fruit de la femme et de l'intervention de la Déesse. Nous savons aujourd'hui que c'est un peu plus compliqué et que la gente masculine à sa part dans cette affaire, mais nous savons aussi que le père n'est pas toujours celui qu'on pense. Bref passons sur cette aparté qui tient plus de la science que de la religion.

C'est la Déesse qui donne la vie, une toute petite vie fragile et innocente dont le destin n'est connu que d'Elle. La volonté de la Déesse est irréfutable, Elle donne mais peut aussi reprendre, Elle est la vie mais aussi la mort. Ainsi nous laissons une lune se passer avant de présenter l'enfant à la Déesse Mère, il en a été toujours ainsi. (nous parlerons plus tard du lien entre la Mère et la Lune).
Pour que le lien se tisse définitivement entre la Déesse et sa création il est nécessaire d'attirer l'attention sur cette petite chose, c'est le rôle des servants de la Déesse. Pour cette cérémonie c'est exclusivement des Prêtresses qui officient. Elles prennent l'enfant à leur mère et le dépose sur une dalle en granit, une des Prêtresses demande à la mère de s'approcher et de tendre la main droite, avec un poignard rituel elle entaille la paume de la main pour recueillir son sang avec lequel elle touche le front du nouveau-né. Une autre Prêtresse déclame alors le nom de l'enfant suivi d'une courte prophétie. Je vais vous livrer une anecdote. Ma mère me l'a rapporté, je vous la donne pour exemple :

"Tu t’appelleras Osismii et des hommes tu seras un des plus proches de la Terre"

Il est vrai que je ne suis pas très grand, voir même plutôt petit, mais j'aime à penser que cette prophétie me destinait à être proche de la Déesse.
Nous ne pouvons nier que parfois nous rencontrons des gens et qu’alors une partie de leur physique ou de leur personnalité nous fait intuitivement leur donner un surnom en correspondance. La Déesse connait sa création et son destin, ainsi par le vecteur des Prêtresses est donné un nom à l'enfant accompagné d'une prophétie. Comment ne pas voir le lien entre le nom et la destinée, et le rôle qu’y joue la Déesse ? Ce rôle n’est pas de la contraindre d’une manière ou d’une autre, mais de la connaitre et de la faire savoir, on pourrait même dire, de la faire assumer. En effet une fois le nom accepté, et la prophétie dite, il semble impossible de passer outre. Le don du nom est l’entrée en matière du destin, dans le sens vrai du terme. Quelque chose comme soit toi-même, soit unique.
C'est pourquoi la Déesse n'aime pas que l'on change son nom même pour plaisanter, il est unique, il vient d'Elle, c'est un don inestimable.


Mariage Lédonien

Les deux futur époux doivent être présent et avoir 16 ans révolus. Une Prêtresse de la Déesse Mère officie mais il n'est pas nécessaire que la cérémonie se passe dans un Temple.

Tout d'abord, il faut savoir qu'un mariage lédonien est un contrat d'un an. Les mariés peuvent ou non renouveler leur mariage tous les ans pendant la fête de Yulon, une fête de paix et une célébration de la remontée de la lumière solaire. La plupart du temps la cérémonie se déroule en plein air pour communier avec la nature, avec la Déesse Mère.

La prêtresse vêtu de sa saie verte (toge cérémoniale), commence par tracer au sol, dans le sens des aiguilles d’une montre un cercle symbolique de pouvoir, dans lequel prennent place ensuite les futurs mariés.

Elle procède ensuite aux échanges de vœux et aux échanges des anneaux (alliances en ivoire plus ou moins travaillées). Puis la prêtresse invoque le feu, l'air, l'eau et la terre comme témoins de cette union.

La cérémonie se termine par le rituel du Cordon Lédon. Pour inclure cette belle tradition dans un mariage, une corde de lierre ou une tresse de végétaux est enroulée autour des mains du couple pour sceller leur union devant la la Grande Déesse, mère de toute forces de vie.

Souvent les mariés sont vêtus de simples toges blanches. La mariées porte une robe ornée de perles d'ivoire ou d'ivoirine et le marié une ceinture avec une boucle en ivoire. La coutume veut que les mariés soient pieds nus, cela symbolise un raccordement à la terre, à la Déesse Mère.

Il est à noter que les époux ne peuvent rompre leur union que en ne renouvelant pas leurs vœux lors de la fête de Yulon. Cela évite bien des ruptures en laissant du temps de réflexion aux époux.

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Deux mariés et une Prêtresse.


Pour vous présenter un aperçue des différents rituels liés au culte de la Grande Déesse, j'ai pris le parti de vous présenter les principales fêtes religieuses.


Fête de Yulon

Le solstice d'hiver, est une fête de paix et une célébration de la remontée de la lumière solaire. Nous honorons le nouvel enfant solaire resplendissant, en brûlant les bûches de Yulon dans un feu sacré. Nous honorons la Grande Déesse sous ses nombreux aspects.
La roue est le symbole de l'année chez les lédoniens qui voient le temps comme un cercle sans fin et non comme quelque chose de linéaire. La roue de l'année continue émerge à Yulon par la naissance du Soleil, fils de la Déesse Mère.
La Déesse donne naissance à un fils, le Soleil, qui correspond à la vie qui va se développer au sein de la nature Terre Mère en apparence morte à cette époque de l'année. On célèbre la naissance du Soleil, qui favorisera croissance et développement de la vie.
Les prêtresses allumeront un feu sacré dans tous les temples et les lédoniens y lanceront une petite branche de houxon une plante indigène de l"île qu'ils auront fait sécher. Ce rituel donne chance et santé pour la nouvelle année à venir.




Fête de Yulon à Ebur


Fête de Dualupon

Voici l’en-thème type de cette fête prononcé par les Prêtresses :


"Au commencement, il y avait la Déesse. Elle créa le Soleil et la Lune pour que sa beauté soit visible de tout le reste de la création. Puis elle enfanta deux loups pour qu'ils l'admirent, bien avant les petites plantes, bien avant les hommes elle créa deux loups car ils étaient à son gout. Puissants ils étaient, ils furent les premiers êtres de chair à voir la Déesse. Ils se prosternèrent devant elle, devant sa beauté, devant leur mère. Olphon et Elphon elle les nommèrent."

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Mais ils étaient de chair et avaient faim, elle n'avait rien pour les rassasier, pour des êtres aussi forts. Elle leur donna la Lune à manger chacun à leur tour. C'est pourquoi elle nous parait changeante, tour à tour ils là dévorent et la Déesse là ré-infante pour eux.La fête se déroule après les deux premiers cycles lunaires de l'année, en général vers fin février. Cette dualité nous amène à la Fête de Dualupon. Olphon et Elphon sont pour la première fois tous les deux avec la Déesse en attendant le prochain cycle.

Jamais la Déesse n'est aussi forte que quand ses loups sont avec elle, c'est le moment des prières à la Mère les plus entendues, des actions de la Déesse les plus fortes.


Fêtes de Walpon


Dix jours après que les jours deviennent plus longs que les nuits, les lédoniens considèrent que la renaissance de la nature est confirmée (vers la fin Mars). La Déesse a de nouveau donné à ses enfants ses bienfaits en donnant un nouveau souffle à tout ce qui est vivant. Elle n'a pas détourné son regard de tous ses enfants, non elle leur confirme ce don magnifique de la puissance vitale.
C'est la grande fête de la résurrection qui rassemble les lédoniens dans les temples pour trois jours de fêtes. On y célèbre les trois formes de vitalité de la Grande Déesse : Oy (l'oeuf), Gedon (le lièvre) puis enfin Bleiz (le loup). Chaque jour a ses rituels qui sont parfois différent d'une région à l'autre.

Oy, la graine de vie
, le don pur et immaculé. La tradition veut que les jeunes femmes n'ayant pas encore eus d'enfant viennent déposer un œuf dans les temples, il est parfois sculpté, parfois en ivoire ou même en ivoire sculpté selon la fortune de la famille.

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Exemple d'une très riche offrande


Fête de Beltor


Le 30 Avril célèbrent la Grande Déesse sous sa forme la plus sensuelle, les temples sont décorés de fleurs de toutes sortes pour la remercier du don de l'amour.

Les couples qui n'ont pas encore été mariés lors de la fête de Yulon se rendent dans les temples pour demander à la Déesse de faire grandir leur amour. Ils s'affichent ainsi devant toute la communauté comme de futurs époux et se doivent de célébrer ce don de l'amour en privé...C'est pourquoi le premier jour de Mai est un jour chômé.

Les Prêtresses vont également parcourir l'île pour bénir les troupeaux de proboscidiens, ce rituel à pour but de garantir leurs fécondités et donc les futures naissances qui renouvellerons les hardes.

Les éléphants domestiques sont décorés de fleurs et parades en procession dans les villes et villages. Ils finissent leur parcours en faisant le tour d'un arbre planté au milieu de la place principale. On choisit alors un "Doyen" parmi les habitants et celui-ci parade sur le dos d'un éléphant en prenant l'allure la plus hautaine possible. La foule réunie se moque de lui, ce jour férié est un défouloir pour tous les lédoniens.

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Fête de Kein

Le solstice d'été, est une fête de plénitude, la célébration de la journée la plus longue de l'année. L’événement est fêté comme une extension de la fête de Yulon. Nous honorons le soleil, au plus fort de sa grandeur en brûlant les bûches de Kein dans un feu sacré. Nous honorons la Grande Déesse sous son aspect de guérisseuse.
La roue est, comme je vous l'ai dit, le symbole de l'année chez les lédoniens qui voient le temps comme un cercle sans fin et non comme quelque chose de linéaire. La roue de l'année continue et culmine à Kein par la puissance éclatante du Soleil, fils de la Déesse Mère.
La Déesse a donné naissance à un fils, le Soleil, qui correspond à la vie qui va se développer au sein de la nature Terre Mère opulente à cette époque de l'année. On célèbre le soleil dans son plein âge adulte, qui donne la plus belle croissance de la vie.
Les prêtresses allumeront un feu sacré dans tous les Temples et les lédoniens y lanceront des herbes médicinales. Ce rituel protège contre les maladies des hommes et des bêtes.
Des rites de fertilité ont également lieu, les couples sautent au-dessus des flammes afin d’assurer leur fertilité et la santé de leurs enfants.

C’est donc aussi le temps du ramassage des herbes médicinales qui sont au mieux de leur pouvoir à ce moment de l’année. Parmi les plantes de la fête de Kein : armoise, lierre, millepertuis, héliotrope, origan, camomille, sauge, verveine, gentiane, fleur de sureau, menthe, églantier, chèvrefeuille, arnica, grande marguerite, etc...


Fête de Mabor


L'équinoxe d'automne, est une fête d'équilibre, la célébration du jour égal à la nuit. La roue est le symbole de l'année chez les lédoniens qui voient le temps comme un cercle sans fin et non comme quelque chose de linéaire. La roue de l'année continue et se trouve en parfait état d'équilibre à Mabor. On travaille encore tard le soir pour les récoltes dont la fin arrive, les derniers dons de la Grande Déesse pour la préparation à l'hiver et au repos de la terre. La Déesse commence à somnoler marquant l'arrivée de l'hiver. C'est un moment idéal pour l'introspection et la méditation. La lumière commence à décliner, le ciel se charge d'eau résultat de la chaleur du soleil, fils de la Grande Déesse.
Le lendemain, les fruits de ces dernières récoltes, résultats de son labeur, seront loués et bénis par les Prêtresses comme preuve d'amour de la Déesse dans les Temples. Partout, les lédoniens déposeront aux pieds d'arbres une offrande sous la forme d'une graine d'automne, noisettes ou autres fruits à coque endémiques.


Conclusion


Le culte de la Grande Déesse régit bien d'autres aspects de la vie de ses Relijiel. Cela va des petits gestes quotidiens aux funérailles. En conclusions disons quelques mots de ce rituel, comme je vous l'ai dit "La volonté de la Déesse est irréfutable, Elle donne mais peut aussi reprendre, Elle est la vie mais aussi la mort.". La cérémonie est des plus simple, le défunt est enterré nu proche d'un Temple, une Prêtresse prononce une prière de son choix à la Grande Déesse  destiné à ce que le défunt retourne serein vers la Mère.
Voilà, merci à ceux qui ont suivis jusqu'ici, je suis désolé de finir sur une note un peu morbide, mais j'ai préféré insister sur les aspects joyeux.
Sella
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